Qui suis je ?
Qui suis-je ?
Daniel Kergren (nom matronymique) né à Lorient en Morbihan,
C’est sur les bords d'un fleuve côtier de la rade de Lorient que commence cette histoire. Mes rêves de lointains se cristallisent sur ses berges et mes errances sur les docks du port de Lorient. Une invitation à sentir l'air du large, et prendre la mer. Sur les chalutiers d’abord puis sur les navires pétroliers.
Bien que de courte durée, cette période, marquera profondément ma personnalité. L’avenir en décidera autrement et c'est dans les Alpes sur d’autres pentes que celle des océans, bien loin de la mer et de la Bretagne que je déposerai mon paquetage. Une autre vie commençait avec d'autres sollicitations et d'autres alternatives. Pourquoi la montagne ? Peut-être un peu pour conjurer le sort, j’étais persuadé d’un retour rapide aux origines, et je ne pensais pas m’attarder aussi longtemps en chemin. Je n'aurais sans doute jamais attaché autant d'importance à la mer, si je n'en avais pas été si éloigné, je pense sincèrement qu'au fond de moi je suis encore un peu marin, mais que l'aventure et le retour aux origines, aujourd'hui, n'est plus sur l'eau mais sur la toile.
Je ne peins pas pour peindre, mais pour dépeindre une atmosphère, une ambiance, un mouvement. J’entrouvre simplement une fenêtre sur un espace-temps. Mon travail reste attaché à toutes ces valeurs d’éléments construits. (Navires, bateaux, avions, phares) elles sont le principal fil conducteur dans mes réalisations, avec ses études et diverses compositions sur papier au crayon, c'est ainsi que j’amorce l’ébauche de l’image, son identité, son caractère et ses particularités, (harmonie, puissance, et atmosphère) et la couleur. La couleur un tant soit peu, avec parcimonie en essayant de rester cohérent dans l’aventure, il faut vivre sa toile, à chaque fois je prends le large, le film se déroule alors entre rêve et réalité à la lueur d’une petite flamme intérieure, qui réactive un temps, une image, la sensibilité enfouie.
C’est aussi un clin d’œil à la peinture de mes prédécesseurs, un regard nostalgique sur un monde maritime et aérien révolu, et une autre navigation. Si je n’avais pas un temps bourlingué sur les mers, et essuyé leurs tempêtes, je n’aurais sans doute pas eu autant de frénésie pour représenter le tumulte des vagues. J’avoue cela laisse des traces, mais j’adore la houle du large dynamique en mouvement, en confrontation, cette turbulence m’attire et j’aime retrouver la mer, elle me manque.
Très peu de paysages marins, portuaires dans mes réalisations. La mer la vraie, vu du large, là où l’horizon se confond, avec les éléments et joue avec l’oblique.
Quant aux avions, un pur hasard, mais je retrouve dans ceux-ci la même approche, le même affranchissement pour composer, et une totale liberté avec la géométrie, identique à la mer.
Daniel Kergren (nom matronymique) né à Lorient en Morbihan,
C’est sur les bords d'un fleuve côtier de la rade de Lorient que commence cette histoire. Mes rêves de lointains se cristallisent sur ses berges et mes errances sur les docks du port de Lorient. Une invitation à sentir l'air du large, et prendre la mer. Sur les chalutiers d’abord puis sur les navires pétroliers.
Bien que de courte durée, cette période, marquera profondément ma personnalité. L’avenir en décidera autrement et c'est dans les Alpes sur d’autres pentes que celle des océans, bien loin de la mer et de la Bretagne que je déposerai mon paquetage. Une autre vie commençait avec d'autres sollicitations et d'autres alternatives. Pourquoi la montagne ? Peut-être un peu pour conjurer le sort, j’étais persuadé d’un retour rapide aux origines, et je ne pensais pas m’attarder aussi longtemps en chemin. Je n'aurais sans doute jamais attaché autant d'importance à la mer, si je n'en avais pas été si éloigné, je pense sincèrement qu'au fond de moi je suis encore un peu marin, mais que l'aventure et le retour aux origines, aujourd'hui, n'est plus sur l'eau mais sur la toile.
Je ne peins pas pour peindre, mais pour dépeindre une atmosphère, une ambiance, un mouvement. J’entrouvre simplement une fenêtre sur un espace-temps. Mon travail reste attaché à toutes ces valeurs d’éléments construits. (Navires, bateaux, avions, phares) elles sont le principal fil conducteur dans mes réalisations, avec ses études et diverses compositions sur papier au crayon, c'est ainsi que j’amorce l’ébauche de l’image, son identité, son caractère et ses particularités, (harmonie, puissance, et atmosphère) et la couleur. La couleur un tant soit peu, avec parcimonie en essayant de rester cohérent dans l’aventure, il faut vivre sa toile, à chaque fois je prends le large, le film se déroule alors entre rêve et réalité à la lueur d’une petite flamme intérieure, qui réactive un temps, une image, la sensibilité enfouie.
C’est aussi un clin d’œil à la peinture de mes prédécesseurs, un regard nostalgique sur un monde maritime et aérien révolu, et une autre navigation. Si je n’avais pas un temps bourlingué sur les mers, et essuyé leurs tempêtes, je n’aurais sans doute pas eu autant de frénésie pour représenter le tumulte des vagues. J’avoue cela laisse des traces, mais j’adore la houle du large dynamique en mouvement, en confrontation, cette turbulence m’attire et j’aime retrouver la mer, elle me manque.
Très peu de paysages marins, portuaires dans mes réalisations. La mer la vraie, vu du large, là où l’horizon se confond, avec les éléments et joue avec l’oblique.
Quant aux avions, un pur hasard, mais je retrouve dans ceux-ci la même approche, le même affranchissement pour composer, et une totale liberté avec la géométrie, identique à la mer.
Notes arts
Définition d'une peinture
S’il est facile de visualiser la bonne image dans notre esprit, la transformer en peinture reste délicat et incertain.
Nous rêvons tous de créer ou recréer des situations dans notre imagination. Voir le mouvement, entendre le bruit, sentir l’atmosphère ou Capter l’ambiance, quand nous sommes passionnés cela peut devenir réel.
Se projeter dans un avenir, revenir dans le passé, choisir son époque, et pouvoir de ce fait voyager dans un autre temps, nous transporter sur des terrains d’aventure différents, en devenant le metteur en scène, et le réalisateur de l’image.
Le rêve fait partie du travail, avec pour finalité la peinture. Elle peut être le témoin d’une époque, un relai contemporain une passerelle vers futur avec l’avantage de posséder une âme, et être partagée.
Apprivoiser un morceau de rêve, le transcrire en image est un défi permanent, vous n’atteindrez jamais totalement vos objectifs, mais jamais vous ne cesserez d'apprendre tant le sujet est vaste.
DKergren
Empreinte
A chaque toile son empreinte, réelle ou imagée, parfois les deux. L’inventer, la fixer dans le temps sans jamais s’égarer dans les voies de l’interprétation est un défi permanent, L’ignorer nous conduirait vraisemblablement vers l’incertitude aux erreurs de jugement et aux fausses critiques sur certaines scènes au goût d’aventure tout en restant fictives, le travail en amont qui contribue pour une bonne part à la réussite des projets autorisant parfois même des largesses avec la réalité, cela reste quand même une œuvre de mémoire, qui, sans pour autant tomber dans domaine du commun a le mérite d’exister
Un tableau c’est avant tout une histoire, Il ne faut oublier l’histoire, retracer ou imager des faits c’est aussi en parler, les ignorer nous amène à de fausses critiques, et très certainement à faire des erreurs de jugement et de réflexion sur la composition d’un sujet, et si certaines scènes peuvent avoir un goût d’aventure martiale, cela reste fictif, et bien moins dramatiques que la réalité.
Un tableau c’est avant tout une histoire, Il ne faut oublier l’histoire, retracer ou imager des faits c’est aussi en parler, les ignorer nous amène à de fausses critiques, et très certainement à faire des erreurs de jugement et de réflexion sur la composition d’un sujet, et si certaines scènes peuvent avoir un goût d’aventure martiale, cela reste fictif, et bien moins dramatiques que la réalité.
Atmosphère
Restituer des atmosphères, des situations Imaginaires, réelles, actuelles ou passées sont des orientations essentielles dans l’élaboration de mes études. Les mers démontées les ciels tourmentés quelque peu apocalyptiques synchronisent ces ambiances et vous invite à me suivre dans l’expression de mon imagination.
La brume s’estompe et découvre maintenant des fragments d’histoires, il vous appartient de pénétrer dans cet univers, de vous laisser entraîner au plus profond de l’image jusqu’à en être l’acteur.
La brume s’estompe et découvre maintenant des fragments d’histoires, il vous appartient de pénétrer dans cet univers, de vous laisser entraîner au plus profond de l’image jusqu’à en être l’acteur.
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Peintures d'avions de Bernard Lengert - Aviation http://bernard.lengert.pagesperso-orange.fr/
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dkergren.a.m.m@free.fr
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